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SACREMENT DES MALADES

Jésus a eu à cœur de se tourner vers les petits, les plus souffrants, afin de les soulager, de les guérir. L’Eglise continue cette mission notamment par le sacrement des malades. Ce sacrement n’est pas réservé aux derniers moments de la vie comme le laissait entendre les expressions «extrême onction» et «derniers sacrements». La pratique ancienne réservait en effet ce sacrement aux grands malades à l’article de la mort.

                 Le prêtre vient pour aider le malade ou la                         personne âgée ; c’est pour cela que la visite des prêtres aux malades est si importante. Il faut appeler le prêtre au chevet du malade et dire : « Venez, donnez-lui l’onction, bénissez-le ». C’est Jésus lui-même qui arrive pour soulager le malade, pour lui donner la force, pour lui donner l’espérance, pour l’aider ; et aussi pour lui pardonner ses péchés.

Pape François

mains tenant

TOUTE PERSONNE EN SOUFFRANCE PEUT DEMANDER CE SACREMENT

Qu’il s’agisse d’une souffrance physique ou morale (en cas de dépression, au moment de la vieillesse, …, lors de l’annonce d’une maladie grave), toute personne peut demander ce sacrement. Il est une aide pour vivre pleinement, y compris dans sa vulnérabilité.

L’essentiel du sacrement se trouve dans l’imposition des mains en silence, suivie de l’Onction faite avec l’Huile des malades, bénie par l’évêque lors de la Messe Chrismale. Le prêtre dit ces paroles : “N., par cette onction sainte, que le Seigneur en sa grande bonté, vous réconforte par la grâce de l’Esprit Saint” et la personne répond : “Amen”. “Ainsi, vous ayant libéré de tous péchés, qu’il vous sauve et vous relève”. “Amen”.

LES CÉLÉBRATION DU SACREMENT 

Soit individuelle sur demande du malade ou de la famille – En EPHAD ou au domicile

contact : votre curé

Soit une célébration communautaire

A Morhange, en général une fois par an, en février. 

 L’un de vous est malade :

qu’il appelle les responsables de l’Église et que ceux-ci prient pour lui en lui donnant l’onction d’huile au nom du Seigneur.

Jc 5,14-15

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